Quelques poèmes

Voici mes poèmes, attention c'est très long car j'ai mis l'intégrale x'D



Pourquoi...

Pourquoi des gens ne nous apprécient-ils vraiment point,
à notre juste valeur en étant banal ou exceptionnel,
Sans être obligé de mentir comme un affreux criminel
Et de se renier, pour éviter de montrer qu'à un tel point,


Notre colère va s'échapper et prouver nos faiblesses ?
Pourquoi être raillé comme cela et être triste à en mourir,
Quand les autres vous dit d'un air méchant d'allégresse,
Qu'en vous écoutant ou lisant, se retiennent de vomir ?

Pourquoi se faire exclure pour avoir commis la faute
d'aimer autre chose que ce que les autres adorent,
Tout ça parce qu'on est différents de tout autre ?
Et si l'on se moque, on nous jetterai presque dehors !

Cette sorte de discrimnation, de racisme et de préjugés
Où l'on se fait démolir à chaque seconde, en espérant
Que le mal s'apaisera...Que nenni ! Il devient important !
Et certains s'en vont se morfondre avant de se suicider,

Tandis que d'autres deviennent une multitude associale,
Tapie dans les profonds abîmes d'une profonde détresse !
Et que dire de ces jeunes qui changent avec excès et tristesse,
Allant parfois jusqu'à finir dans un sombre et triste hôpital ?

Anorexie, beauté, goûts musicaux sont les trois choses
Qui anéantissent les personnes différentes de par cela,
Les plongeant dans une honte et une infériorité morose,
Pour qu'ils ne reviennent plus jamais et ne soient plus là...


Et en voici d'autres :

Entre deux eaux...

Je suis entre deux eaux, de vous à moi.
Et c'est là que vous me dites "pourquoi ?"
Cinquante pour cent heureuse
Cinquante pour cent malheureuse

Je souhaite plus tard réussir
Et à certains moments, l'envie de mourir
Se diffuse tel un sombre parfum en moi
Mais revoici l'envie de hurler de joie.

Je déprime puis j'emplis d'allégresse
Tel l'action de la lune et du soleil.
De vinaigre, je passe à miel,
mais je passe de calme à stress.

J'ai tout pour être joyeuse,
Mais il y a toujours un brin
de malheur qui me donne du chagrin.
Mais dès que je voie son visage je suis heureuse

Je suis entre deux eaux,
Une eau sombre dans les abîmes
Et une eau claire léchant les bateaux.
Voilà comment se termine ainsi ces rimes.
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Cette plage...

Cette plage où je passe mes vacances
quelques fois, j'y repense avec errance

J'ai l'impression d'avoir laissé mon coeur là-bas
ainsi que mon amour pour toi
Cette odeur d'iode
et de sable métissé

Autrefois roches qui s'érodent
Et le soleil qui continue de briller...
Cette plage où un bel été
J'ai failli me noyer

Mais je ne lui en veut pas
Car ça arrive parfois
Cette plage où j'oubliais
Ce qui me turlupinai

Et où je me sentais chez moi
A en rire de joie.
Cette plage, si le ciel le veut
J'y reviendrai bien une journée ou deux...
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Nostalgie

Ô Nostalgie, petit sentiment
profondément enfoui
Du passé qui a fui
Et que l'on aimait vraiment,

Tu nous rappelles les moments,
bons comme mauvais,
agréables comme déchirants,
Sérieux ou bien niais.

Petit bout d'âme attristé
Qui fait connaître à ceux
Qui n'ont pas vécu le passé
Et qui sont bien envieux,

Ou qui rafraîchit la mémoire ou non,
A ceux qui l'ont vécu.
Une radio porte d'ailleurs ton nom,
En signe de ce bonheur déchu.

Tu as baigné parmi les grands
De ton époque bénie
Et tu reviens, en nous hantant
De cette joie finie...
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[Le]Quetzal sur la branche

Le Quetzal sur la branche
Prenant un bain de soleil tout heureux
Qui le ravit d'une clarté blanche
Et lui rend le plumage beau et lumineux.

Dans la forêt verte comme l'émeraude foncée,
Il est vraiment le roi
Gorgé de l'immortalité
Et nous enchante de sa voix

Ses plumes d'or,
De rouge et de vert
Brillent encore
Même à l'envers
Le Quetzal sur la branche tire avec véhémence
Sa plus grande révérence.
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Chocolat

Ô raffiné chocolat
douce denrée que tu sois !
Contraste du cacao pur et amer

et du sucre doux de lumière
Autrefois, tu étais plat sacré
Bien que maintenant à ton son

Tu es sacrément bon !
De beaucoup tu es adulé.
Du plus sombre si fort
A la praline de confiserie

Si onctueuse et encore
L'on te retrouve parmi nos sucreries.
Mais bien que tu sois bon,
Tu dois être consommé avec modération.
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Je suis un poisson

Je suis une petite Poissons
Qui ne sait pas nager,
et qui se perd dans le grand océan
de la vie, joyeuse ou apeinée.

Folle d'une étoile
Qui n'est plus là,
Sauf sur une toile,
Et qui ouvre grand les bras

Je suis une petite Poissons,
Prenant dans sa main
Une douce rose au temps des moissons,
Appréhendant les lendemains !

Je suis une petite Poissons
Qui cherche toujours la petite bête,
De nombreuses questions me voguant dans la tête
Avec une âme d'enfant

Je suis une petite Poissons droitière
Qui a envie de rencontrer
Un ange bien vite disparu de la Terre
Pour le consoler...
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Sur la plaine

Sur la plaine, le ciel semble mitigé,
Avec son aspect laiteux et, la mer
Du littoral voisin s'abat sur les rochers,
Se divisant en beaux embruns sur la terre.

Les rayons du soleil transpercent l'air,
Lance qu'ils sont pour abattre la tristesse
De l'orage menaçant la majestueuse lumière
Et le peuple qui l'admirent avec tant de liesse !

Mais quand la nuit vient s'étendre,
cette plaine s'empreint de mystères,
Comme une vaste terre étrangère
Où l'on n'ose pas trop s'y attendre,

Mais vient alors une lueur blanche...
Est-ce un fantôme, est-ce un ange ?
Non. Mais je vous dis qu'en revanche,
ce n'est ni bon mauvais, juste un mélange

Car cette sorte d'esprit dans son aura
et portant à son cou une étrange améthyste
vient fixer le majestueux paysage d'autrefois
comme l'admirent de leur coeur les artistes,

Et en repart aussitôt, dans un son de lyre !
Que s'est-il passé ici ? Y a-t-il eu songe ?
Ou bien n'était-ce qu'un gros mensonge ?
Non. C'est la protectrice, se mettant à rire,

Qui s'en est allée tel un grandiose cygne
Etendant ses bras comme un air magique,
Laissant alors, dans une autonomie bénigne
Cette plaine où semblent y avoir des signes...
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D.I.S.C.O.

D comme Dalida
Sublime et grande diva
I comme Idole
Celle que j'adore

S comme Singularité
Bien que nous fûmes à égalité
C comme Cloclo
Un chanteur à voix d'or et très beau

O comme Obélisque
Malgré ses stars disparues depuis un moment,
Le disco restera une belle musique
Qui reviendra et reste éternellement...

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Aquarelle

Je vais vous parler d'un art
Quelques fois mis à l'écart,
mais qui, sans doute, vous
montrera que ça vaut le coup !

Je parle de l'aquarelle !
De ses beaux lavis
Nuancés comme des nuées nouvelles
et vraiment très belle.

Cette sublime technique picturale
Est imposante, comme une cathédrale,
Et pourtant timide voire secrète
Comme une poule à petite crête.

Je vous le dis, chers amis,
Que Dieu bénisse l'aquarelle !
Et que dans cette ribambelle
de peinture, soyez épanouis...

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L'Esprit Papillon

Je suis l'Esprit Papillon,
Et de mes douces ailes
Aux couleurs d'arc-en-ciel
Qui vous mène en perdition !

Quand vous êtes en cours,
Je vous plonge dans la rêverie,
Papillon, petit, tout petit,
Votre attention tourne court !

Je suis l'Esprit Papillon
Et de mes douces ailes
Aux couleurs d'arc-en-ciel
Qui vous mène en perdition !

Quand vous vous promenez
au parc de manière incongrue,
Je vous vole, tout au-dessus,
et dans le lac vous tombez !

Je suis l'Esprit Papillon
Et de mes douces ailes
Aux couleurs d'arc-en-ciel
Qui vous mène en perdition !

Quand vous êtes concentré,
Je vous fais tourner la tête,
Par exemple sur une fenêtre
Et vous fait tout rater !

Je suis symbole d'une liberté
Qui vous pousse à m'écouter
Je vous plonge dans l'extase,
Les rêves étant une première phase.

Je suis dans la vie des humains,
Mais à mon contact, il deviennent
Des papillons agissant comme des pantins,
Et voguent alors sur les plaines...

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Dans le lagon

Me voici sur une sublime plage,
jolie grève aux reflets opalins
allant de pair avec l'air marin
Et les palmiers de ce doux mirage,

et qui, pourtant, est bien là !
Et le voici, cerise sur le gâteau,
Ce somptueux et immersif lagon !
Pareil à tes beaux yeux, oh là là !

Qui scintille la nuit, pareil
à une turquoise ou un cristal
formant un champ de merveilles
Profond comme un large val,

Où j'aimerai bien plonger,
Telle une splendide sirène,
Et que tu viennes y nager
pour qu'on s'y étreigne...

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Dans les nuages

Me voici en cours, essayant d'écouter
Tandis que je plane, mon regard rivé
Sur les nuages de par cette fenêtre,
Où le temps en lui-même s'arrête.

J'essaye de voir tes beaux yeux,
Qui sont le seul éclair apaisant,
Et l'unique rayon non menaçant,
Qui sont tellement merveilleux !

Dans les nuages, j'aperçois
une drôle de forme... Un
drôle de présage pour moi,
et qui apparait importun...

Vient alors un orage,
Exprimant toute sa rage,
Et la foudre qui m'effraie,
Parèdre de cet air frais,

Qui me ferait des entailles,
Avec un cri que je retiens,
Dans mon coeur et mes entrailles,
Sans que je ne dise rien...

Mais voilà l'arc-en-ciel arrivant
Et achevant cet affreux cauchemar,
Je t'y vois à nouveau, dans la mare
Ou au ciel redevenu comme avant...

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Au coeur de la cornaline

Je me trouvais devant une devanture,
Sans savoir de suite quelle aventure
allait m'arriver...Je fus devant la porte,
Tandis que le pollen partait tel une horde

de petits flocons plutôt allergènes,
Mais je m'en moquais ! Ce qui me gêne,
C'est ce que je vais vous narrer
Maintenant. Alors j'y suis entrée

et parmi les minéraux exposés,
que je fixais d'un air très hagard,
Quelque chose attira mon regard.
Ce fut un cône mais, je doutais,

Etait-ce...oui, c'était de la cornaline
et non ces agates teintées en orange,
qui me sidéra et se vit à ma mine,
Impressionée, tellement c'était étrange...

Je sautas sur l'occasion. Mais arrivée
Chez moi, j'entendis une petite voix
à l'intérieur...c'était celle d'une fée !
De cela, je n'en croyais presque pas

Mes yeux ! Son histoire racontée,
Où elle m'expliqua, soudain je déprime,
Mais ce fut une autre fée. La fée.
La fée du coeur de la cornaline.

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De par les étoiles

De par les étoiles, qu'il y a cette nuit,
J'essaye avec force de me remémorer
De tout ce que je n'ai vu ni ouï
Il y a longtemps, à tes côtés...

Tu naquis dans une cage dorée
Mais vint alors les catastrophes,
Où tu dûs partir du pays où tu es né,
Bien avant que j'écrive ces strophes,

Ensuite, avec un proche, tu fus fâché
et quand ce fut vraiment trop tard,
Tu n'eus que tes yeux pour pleurer,
Et s'ensuit des souffrances non rares...

Tu faisais de ton mieux pour t'accrocher,
Montrer que tu pouvais te reconstruire
malgré les épreuves que tu as passées,
Et qu'après le chagrin vient le rire.

Puis après des efforts, tu accédas à la gloire,
Adulé et vénéré comme l'idole de tous.
Tous ? J'oubliais les abominables jaloux
Qui voulaient te fondre dans le désespoir...

Mais tu restais debout, encore et encore,
Et c'est là, horreur, qu'on en voulut à ta vie,
Et où tu réchappais aux griffes de la Mort,
Mais tu demeurait courageux voire hardi.

Et c'est alors, qu'en plein de ton apogée,
Tu nous quittas d'une manière brutale
et vraiment dure pour certains à supporter,
Toi qui les aidais et qui t'aidaient, jusqu'au râle...

Mais quelque chose me dit que tu reviendras,
Que ce soit sur Terre ou de par les étoiles,
En chair et en os ou en ange gardien, ange-roi,
Même si je ne peux que t'admirer sur ma toile...

Ouh là , tellement long x')

Mais toujours aussi beaux =D avec un bon vocabulaire varié ^^ mdr .

Chocolat ♥♥♥

Merci ^^ (ça c'ets sûr que ce poème-ci est beau à croquer x') )

Il donne faim surtout , c'est pas malin T_T x')

Si t'écoutais jerme sur lak', tu aurais ENCORE plus faim x'D

Mon coeur bat

J'étais dans la grande pénombre,
Dans la détresse la plus sombre,
Mais ta douce lumière m'en a sortie,
A cet instant, je voulus te dire merci.

Sur ta magnifique voix, mon coeur bat
Au son de cet entraînant et joyeux tempo,
Je me sens envolée au diapason du la !
Chaque pulsation de ton chant, il rebat,

D'où vient une stupéfiante renaissance,
Où je te dois une grande reconnaissance,
Où ma vie me semble agréable à nouveau,
Comme si je vivais la vraie vie de château !

Mon coeur bat au rythme de la chanson,
Je suis toute légère, et je me sens bien,
Et je suis certaine que personne, voire rien,
Ne m'empêche de renaître, et tel un poisson

Dans l'eau, je me sens énormément à l'aise,
Et fini les périodes de tristesse ou de malaise,
Mon coeur bat beaucoup au son de ta voix !
Et à ton chant, je conserve l'espoir et la foi !

Mon coeur bat, mais que pour un seul être,
Et cette personne, qui me fait toujours renaître,
Oui, cet être que j'aime et qui me donne la joie...
Cette personne ? Eh bien, la réponse c'est : toi.

Ah bon ? Heureusement que j'écoute pas alors ...

Sinon très beau poème , que tu m'as déjà montré avant ^^ - Ai vu la première ? Voupii x'D -

Comme tu le sais très bien, tes poèmes sont magnifiques *o*

Merci ^^

Un nouveau écrit à l'instant :

La création

Dans le monde gris de poussière,
Ce lieu intriguant et désert, soudain
Une mélodie s'entend dans le matin,
Tandis que d'un lieu jaillit la lumière !

C'est la création ! L'air se déplace,
Tournoyant comme un fier rapace,
Et plane, ô composition des anges,
A la manière d'une petite mésange.

La vie s'insuffle dans les êtres !
Il y a une boule d'or, de chaleur,
Qui s'anime dans tous les coeurs,
Alors que la nuit va disparaître...

Les cascades en explosent de joie,
A l'instant où des arbres poussent,
Tandis que dans la mer de la foi,
Les bulles et les écumes y moussent.

Les êtres vivants commencent à bouger,
En même temps que la verdure s'amplifie.
Les âmes qui vivaient dans une cage fermée,
S'en échappent et se fondent en harmonie !

Voici alors, que la création tout jeune,
Laisse place à une belle terre neuve...


(ça m'est venu avec la musique "Infinity" d'Era que j'ai eu la joie de réecouter après tant d'années, dans le premeir épisode de "Geek in the piink" de MG x'D)

C'est vraiment très beau =)

Merci beaucoup ^^

Oui c'est beau =')

Un nouveau, composé à l'instant....

Quand la gemme se (re)mit à souffrir

L'améthyste brille joyeusement,
Voyant le monde et le beau soleil,
Vit la vie de son violet, gaiement,
Mais n'est point doux tel le miel...

La petite pierre entend une vérité,
Se remémore un passé inconnu,
Tandis que son coeur déchiré,
Se dévoile de par ses yeux nus.

Son coeur se brise alors en éclats,
Scintillants d'une grande détresse,
l'adrénaline arrosant son "estomac",
la petite améthyste cassée de stress.

C'est alors qu'en peu de temps,
Son humeur de folie et de joie,
Dans la pensée de son ange-roi,
Devient hiver et non printemps...

C'est beau...

Merci beaucoup...